Salut à vous, qui me lisez et qui avez la curiosité de me découvrir un peu.

Je suis Laurent, enchanté.

Après 18 ans passés dans le monde de l’entreprise à Paris et Luxembourg, dont 5 années à accompagner des managers et équipes j’ai décidé de changer de rythme de vie et de venir m’installer en Nord Isère avec ma femme, mes 3 enfants et mes 2 chiens.

Si j’ai décidé de faire ce métier, c’est parce que je pense que de nombreuses personnes sont en souffrances (eux même, dans leur couple, leur famille ou au travail), elles sont prisonnières de leur labyrinthe et n’arrive pas à s’en sortir par elles même. Moi aussi j’ai galéré dans certains dédales et le suis encore par moment. Et là plusieurs choix s’offrent à nous :

1. Râler en espérant un miracle. C’est-à-dire espérer que la sortie apparaisse par miracle au prochain croisement. Généralement, ce n’est pas trop efficace.
2. Serrer les dents en cherchant à se débrouiller seul. C’est la technique de mettre sa main sur un mur et de ne pas le lâcher jusqu’à la sortie. C’est celle que j’ai choisie initialement et 10 ans après j’ai bien avancé, mais il me restait du chemin à faire.
3. Se faire accompagner en thérapie/coaching, seule ou en groupe. C’est là que j’ai réalisé que mon sac à dos était lesté de plein de choses lourdes du passé à déposer. Et, j’ai aussi pu prendre quelques chemins de traverse jusqu’à la sortie avant de continuer mon chemin de vie sereinement maintenant.

Le début de mon évolution remonte à 2009 quand mon travail en entreprise m’a amené à devoir animer des réunions. Etant introverti ++, je me suis donné un coup de pied au cu…fesses en prenant des cours d’improvisation théâtrale. C’est à ce moment que j’ai vécu la possibilité de changer/d’évoluer sur certains modes de fonctionnement installés pourtant depuis longtemps. Après plus de 10 ans d’expérience en troupe et à donner des spectacles, je donne des cours, comme quoi.

Puis, mes fonctions m’ont conduit à accompagner des managers et équipe sans pour autant avoir un bagage et une légitimité pour le faire. Je me suis donc formé au coaching professionnel et à la formation. Et avec la pratique, j’ai commencé à percevoir la limite de l’exercice : le problème de fond est souvent encore là. 

Face à cette frustration, je me suis formé à l’hypnothérapie après en avoir bénéficié personnellement  (grosse peur des guêpes).

Ces 3 casquettes, me permettent d’accompagner les personnes en m’adaptant à là où elles en sont.

Ma pratique m’a amené à divers constats :

• La baguette magique existe… parfois seulement. Quand le problème est lié à un élément marquant de votre vie, où un conditionnement, c’est comme un bug du cerveau à résoudre et là ça peut changer très vite. Et parfois c’est plus lié à des notions d’évolution personnelle ou d’influence qui elles prennent plus de temps. Vous pouvez imaginer que votre problème est comme un trou à boucher. Parfois 1 seule pelletée de terre suffira, parfois il en faudra plusieurs.
• Beaucoup de gens/couples commencent un travail sur eux, mais arrêtent après 1 ou 2 séances. C’est rageant, car le travail est engagé et non finalisé, du coup, tout le monde est insatisfait. Et je comprends que le coût soit un réel frein. C‘est pourquoi dorénavant je fais le choix de proposer des programmes de plusieurs séances à un prix fixé en amont. Idem pour la thérapie de couple. Cela est rassurant pour les personnes accompagnées qui savent où elles vont dans leur engagement. C’est aussi rassurant pour moi, car je sais que nous allons avoir le temps de faire ce qu’il y a à faire. 
• Y a pas que l’argent qui soit un frein, le mode adolescent dans lequel la société nous pousse aussi : Je veux tout, tout de suite et sans me fatiguer/sans souffrance. Pour commander une pizza, un objet, regarder une série à la demande, on peut le faire en quelques clic de son canapé. Mais pour changer quelques chose dans son mode de fonctionnement ou évoluer personnellement, cela nécessite de la responsabilité. Bref, d’être un adulte, d’accepter le prix de l’effort et de la souffrance pour atteindre son objectif.  
• Entre les séances, on se sent parfois bien seul. Combien de fois après une séance j’ai pensé à un truc important ou vécu une expérience significative et j’aurais aimé avoir un accès à la personne qui m’accompagne pour lui en faire part. C’est pourquoi je propose dans le cadre de mes programmes de maintenir un canal ouvert entre les séances pour échanger au besoin. J’ai la même démarche dans les formations que je suis amené à réaliser.

Mon intention est que les personnes qui désirent changées puissent-elles aussi avancer et trouver la sortie dans leur labyrinthe et être prêt pour les prochains en autonomie.

Au plaisir de vous rencontrer et d’échanger avec vous,

Laurent